Alors que l'UMP se cherche toujours un chef, Marianne scrute les dérives droitières de Jean-François Copé, président pour une nuit, d'un parti en chasse sur les terres idéologiques de l'extrême droite. Un numéro double comprenant un dossier spécial de 40 pages sur le grand gaspillage: subventions, privilèges, gabegies. Marianne passe en revue les grands gâchis du public et du privé.
Copé-Fillon: le cœur de l’UMP balance. Une certitude néanmoins, c’est sur une ligne dure que le parti entend se reconstruire. Une droite décomplexée, une droite forte, comme le nom de la motion qui s’est imposé dimanche comme principal courant au sein du parti l’indique.
Emblématique de cette droite sans-gêne, Jean-François Copé, l’autre voyou de la République conseillé par son nouveau mentor, Patrick Buisson, qui recycle sa stratégie droitière déjà mise en œuvre sous Sarkozy auprès de son nouvel enfant chéri. A droite toute, c’est l’événement de la semaine dans Marianne.
En voilà un autre décomplexé, c’est Zlatan. Il aura suffi de quelques retournées acrobatiques pour que la France succombe à la folie Zlatan. Doué à coup sûr, richissime, égocentrique, arrogant, Zlatan fait trembler les filets et basculer une France qui n’avait jamais succombé à la folie du foot. Premiers fabricants d’icônes, les médias qui abreuvent leurs antennes de zlataneries au moindre coup de pied du Prince. Dans Au secours ! Ils ont chopé la zlatanmania, Marianne explore la folie Zlatan et les ambiguïtés du personnage.
Le premier espion du monde qui tombe pour une partie de jambes de l’air. On est pris de vertiges à la lecture de l'article Le scandale Petraus sans cache-sexe. C’est aux Etats-Unis, évidemment, que cela se passe où le chef de la CIA a dû remettre sa démission après la découverte de mails par le FBI révélant la liaison d’un des hommes les plus puissants de l’administration Obama avec une journaliste. Faiblesse humaine, guerre des services, suite de l’assassinat de l’ambassadeur en Libye, le correspondant de Marianne aux Etats-Unis explore toutes les hypothèses, notamment sa naïveté. Le plus grand espion des Etats-Unis ne connaissait rien au monde du renseignement.
Aragon, narrateur du supplice. Un portrait littéraire de Daniel Bougnoux quitraque les ombres d’un écrivain et l’entrée du cinquième volume de ses romans dans la Pléïade. La (re)découverte d’un écrivain, poète et journaliste , un prince de l’ambigüité qui a vécu et rêvé les grandes farces tragiques du XXème siècle, les deux guerres mondiales, les révolutions, le communisme.
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