dimanche 23 janvier 2011

Pour une révolution qui fera contribuer chacun à la hauteur de ses moyens afin de préserver nos services publics actuellement démantelés ...
Allez sur le site www.revolution-fiscale.fr



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Pour une révolution fiscale
Un impôt sur le revenu pour le XXIème siècle
A paraître le 20 janvier 2011, Le Seuil/République des idées

Couverture


La fiscalité française est asphyxiée par sa complexité, son manque de transpar et l’accumulation de privilèges pour une minorité de contribuables ultra-riches. Mais on en reste trop souvent, en la matière, à des énoncés aussi vagues que stériles.
Ce livre innove en proposant une critique d’ensemble du système fiscal français. Il démontre scientifiquement, pour la première fois, le caractère régressif de l’impôt dans notre pays (ce qui signifie que, tous prélèvements confondus, les taux d’imposition sont plus élevés pour les ménages les plus modestes et s’abaissent pour les plus riches). Pour cette raison, il fera date.
Mais cette analyse au scalpel ne se contente pas de mettre au jour l’injustice du système. Elle plaide pour une révolution fiscale, chiffrée et opérationnelle, fondée sur trois principes : équité, progressivité réelle, démocratie. Ce livre contribue de manière décisive à l’édification d’une nouvelle critique sociale et se pose au centre du débat politique pour les années à venir.
Pour la première fois dans le monde, un site Internet permet à chacun d’évaluer les propositions des auteurs et de concevoir une réforme alternative:


samedi 22 janvier 2011

Jusqu'ici tout va bien


Non, le coût du travail n'est pas trop élevé, c'est la rapacité de l'oligarchie qu'il faut
attaquer ! Ex-directeur des affaires sociales de la fédération patronale des assurances,
Éric Verhaeghe claque la porte du Medef. Il dénonce une doctrine économique qui met en
péril la société et la démocratie.
...


Son livre:

lundi 17 janvier 2011

Les entreprises profitent de la période des soldes pour recourir à des stages abusifs.

Les soldes relancent la question des stagiaires sous-payés

En période de soldes, les étudiants ou jeunes demandeurs recrutés par certaines enseignes pour faire face au surcroît d’activité, sont-ils bradés à leur tour ?

Selon le collectif Génération Précaire, interrogé par Le Figaro, ces opérations de déstockage dans les commerces servent de prétexte à certains employeurs qui préfèrent recruter des stagiaires comme vendeurs plutôt que d’embaucher sous la forme d’un contrat de travail rémunéré, même temporaire.
Or, malgré le loi du 24 novembre 2009 qui instaure le principe d’une indemnité obligatoire lorsque le stage est d'une durée supérieure ou égale à deux mois (417,09 € pour 35 heures de travail hebdomadaire), les stagiaires restent, en moyenne, « payé six fois moins cher qu’un salarié » affirme Génération Précaire.
Selon le Collectif, la crise économique a même conforté ce système puisque, depuis 2006, le nombre des stagiaires en France serait passé d’un effectif global de 800 000 à 1,2 million en 2010, soit une hausse de 50% en quatre ans.

dimanche 2 janvier 2011